1895
DECOUT LACOUR
NAVIGATION CONSTRUCTION ATELIERS CHANTIERS MARITIMES
LA ROCHELLE LA PALLICE
VOIR HISTORIQUE SUR CETTE ENTREPRISE
LE DERNIER SCAN NE FAIT PAS PARIE DE LA VENTE /
DOCUMENTATION UNIQUEMENT
DESCRIPTION
ANNEE 1895
FORMAT A4
LETTRE COMPETE ET SIGNEE AVEC ENTETE
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
TRES RARE ENTETE DATANT DE 1895
LA PLUPART DES DOCUMENTATIONS FONT REFERENCE A UNE CREATION DE CETTE ENTREPRISE DEBUT 1900
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HISTORIQUE
SOURCES
https://www.bernezac.com/LaRochelle_vieux_port.htmlhttps://www.bernezac.com/LaRochelle_vieux_port.html
EXTRAIT
Decout-Lacour, patrimoine industriel de La Rochelle
L'usine de construction navale Decout-Lacour s'installe au début du siècle. Elle loue les deux formes de radoub construites en même temps que le port, dans les années 1880. Elle est rachetée en 1921 par la Cie Delmas-Vieljeux (déjà propriétaire d'une flotte commerciale de 19 bateaux et d'une usine de fabrication de boulets et briquettes de charbon), pour devenir plus tard les Chantiers navals de La Rochelle-Pallice,... lire la suite...
VOIR AUSSI
https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA17000241
EXTRAIT
Description historique
L'usine de construction navale Decout-Lacour s'installe au début du siècle. Elle loue les deux formes de radoub construites en même temps que le port, dans les années 1880. Elle est rachetée en 1921 par la Cie Delmas-Vieljeux (déjà propriétaire d'une flotte commerciale de 19 bateaux et d'une usine de fabrication de boulets et briquettes de charbon) , pour devenir plus tard les Chantiers navals de La Rochelle-Pallice, s'occupant, après la guerre, de la réparation des liberty-ships et se lançant, à partir de 1948, dans la construction neuve, puis plus tard dans la mécanique générale. Cette entreprise fusionné en 1961 avec les Ateliers de Construction rochelaise du Gabut et prend le nom d'Ateliers et Chantiers de La Rochelle-Pallice (ACRP). Suite à un incendie, en 1967, les bâtiments situés au sud des cales sont reconstruits. Rachetés en 1970 par les Ateliers et Chantiers du Havre, ils deviennent la Société des Ateliers et Chantiers de La Rochelle-Pallice (SNACRP) , spécialisée dans la construction et la réparation de navires avec un secteur mécanique et chaudronnerie. Après la fermeture de cette société en 1986, le secteur mécanique et chaudronnerie est repris en 1987 par la Société rochelaise de Mécanique pour la conception et la réalisation de pièces de précision, dans les anciens locaux dévolus à ce secteur partiellement rénovés. Les autres locaux des anciens chantiers navals sont occupés par plusieurs sociétés, telles que Sidermétal, la Serni, la Rochelle-Navale-Industrie. Une mortaiseuse de 1939 (étudiée) fonctionne toujours, ainsi qu'un compresseur à air à piston de 1920 de Inger Soll Rand Company (New York, USA) , qu'il n'a pas été possible de photographier. En 1975, environ 1300 personnes y travaillent, en 1986 : 840. En 1987, la SRM emploie 32 personnes.
VOIR AUSSI
https://www.culture-nouvelle-aquitaine.fr/wp-content/uploads/2022/02/exposition-paroles-ouvrieres-des-chantiers-navals.pdf
EXTRAIT
Les Chantiers navals de La Pallice, à La Rochelle, qui emploient avec leurs sous-traitants plus de 2000 personnes dans les années 1960, sont l’un des fleurons industriels de la ville. Leur fermeture en 1987 provoquera un traumatisme encore présent dans les mémoires, même si, depuis, les savoir-faire locaux ont contribué au développement de la filière nautique avec la création de plusieurs chantiers. Six anciens employés ont témoigné de leur vie aux Chantiers, des années 1950 à 1987. Les entretiens ont été menés par Dominique Cambon et Marlène Le Gal (Passerelle Image) au début de l’année 2014